Travailler pour soi et non pour l’État depuis le 18 juillet
Avec une pression sociale et fiscale de 54,4 %, les salariés français restent en 2025 les plus ponctionnés d’Europe, selon l’Institut Molinari. Il leur faut attendre le 18 juillet pour disposer librement de leur rémunération, après avoir acquitté impôts et cotisations. Un fardeau qui pèse sur leur pouvoir d’achat, bien plus que dans la majorité des pays européens.
Risque cyber : des modèles encore à l’état de brouillon
Explosion des attaques, complexité des impacts, rareté des données fiables… Le risque cyber reste un casse-tête pour les assureurs. Face à l’ampleur des sinistres potentiels, le secteur cherche à affiner ses modèles, encore largement immatures.
La Garantie Accidents de la Vie : l'inconnue à ne plus ignorer
Alors que les accidents domestiques font chaque année plus de 20 000 morts en France, la Garantie Accidents de la Vie (GAV) reste l’un des contrats les plus utiles... et les moins souscrits. Mal comprise du grand public, peu visible dans les offres d’assurance, elle souffre d’un déficit d’information et d’une lisibilité encore perfectible.
Les retraites en 2026 : Une réforme de grande envergure
À partir de 2026, les retraités français ne bénéficieront plus de l’abattement automatique de 10 % sur leurs pensions au titre des frais professionnels. Un nouveau dispositif forfaitaire de 2 000 euros viendra s’y substituer, pour un gain fiscal concentré sur les petites retraites et une ponction accrue sur les plus aisés.
La solution juridique pour les ex-entrepreneurs en difficulté : Liquidation et PERCOL
Un cas récent rappelle que le déblocage anticipé d’un plan d’épargne retraite collectif (PERCOL) est possible après une liquidation judiciaire, même si le plan n’émane pas de la société liquidée. Une interprétation plus souple de la loi Pacte, désormais admise par les teneurs de compte.
Financement immobilier pro : un marché sous pression, mais encore debout
Le marché du financement de l’immobilier des professionnels continue de reculer en 2024, avec une baisse de 22 % des crédits accordés. Mais les acteurs restent présents, les opérations se complexifient, et de nouvelles dynamiques émergent sur certains segments comme la logistique ou la transformation d’actifs.

